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Résumé :
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Pour le Larousse, le bien-être est un “état agréable résultant de la satisfaction des besoins du corps et du calme de l’esprit”. Si l’urbanisme ne peut pas tout pour faciliter l’existence de tous, il y contribue. Les différents champs de l’habiter et de l’organisation spatiale sont en jeu : logement, mobilités, espaces publics, alimentation, morphologie urbaine, environnement… Et ils convoquent un acteur singulier et pourtant central, l’habitant. Car, à côté des dimensions objectives du bien-être, la subjectivité est, elle aussi, importante. Nombre d’études reconnaissent ainsi les bénéfices des espaces verts sur la santé mentale et le rôle des relations sociales. Une dimension plus difficile à intégrer dans un projet, si l’on ne s’appuie pas sur les principaux intéressés… En explorant des chemins possibles, le dossier invite également à ménager les territoires et ceux qui y vivent.(résumé éditeur)
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